Saul de Tarse plus connu malheureusement sous le nom de « Apôtre Paul », était un « Messager de Satan ». Son vrai rôle était de détruire les « Assemblées de Dieu » qui obéissent à la Loi de Moise.

Lucifer (ou Satan) a porté son choix sur « Saul de Tarse » et a fait de lui sa demeure sous le nom de « Apôtre Paul » parce qu’il avait le profil de « Ennemi Naturel » des enfants d’Israël. Voici, pour votre éclairage (ou illumination) les deux (2) principales raisons qui ont justifié son élection :

1. Saul de Tarse était un BENJAMIN

Dans son épitre aux Romains, Saul devenu « Apôtre Paul » dit de sa propre bouche qu’il est un « BENJAMIN » (Romains 11 : 1). Cette information venant de Paul est très importante parce qu’elle nous permet de mieux comprendre pourquoi il était le « Persécuteur » attitré des fidèles du Christ Jésus.

La Torah (Livre Saint des Juifs) enseigne que « la Tribu de Benjamin » allait diviser l’héritage des Israéliens. En effet, le Roi Saul de la tribu de Benjamin, a été l’adversaire farouche du Roi David, descendant de Jesse.

Il n’est donc pas étonnant que « Lucifer » choisisse un autre « Saul » de la tribu de Benjamin, pour détruire l’œuvre de Jésus, rejeton de David, lui-même fils de Jesse (Esaïe 11 : 1-2).

L’histoire va même plus loin en nous disant que la tribu de Benjamin a fusionné à un moment donné avec la tribu de Judah. Eh voyez vous-même : Qui a trahi Jésus ???

Lucifer, en se transposant en Saul de Tarse, a fait de lui, un « Esprit-de-Mensonge » pour qu’il puisse combattre Jésus « l’Esprit-de-Vérité »

2. Saul de Tarse était un HÉRODIEN

Saul de Tarse à deux (2) reprises nous affirme dans le « Nouveau Testament », qu’il est de la famille des Hérode (Romains 16 : 11 et Actes 22 : 25-26). Or « Les Hérode » sont des Iduméens, descendants de « Ésaü » qui se sont convertis aux pratiques religieuses des descendants de « Jacob ou Israël ».

Quoi de plus naturel pour Lucifer (ou Satan) d’utiliser les « Hérode » pour son projet de destruction des œuvres de Jean Le Baptiste et Jésus Le Christ ; afin de régler un vieux contentieux (ou compte) entre « Jacob ou Israël » et « Ésaü ou Edom ».